Faites appel à un expert pour développer votre patrimoine !

Avoir son propre conseiller en investissements financiers (CIF) réduit le risque d'erreurs coûteuses, apporte de la sérénité et permet de multiplier la valeur long terme de vos actifs.

À partir d’un certain niveau de patrimoine, gérer seul ses investissements peut s'avérer risqué et conduire à des stratégies inadaptées, des enveloppes d'investissement mal choisies ou des allocations mal calibrées. 

Le rôle de l'expert en conseil patrimonial est de vous accompagner dans vos prises de décisions et de mettre en place, avec vous, une stratégie d'investissement réfléchie et performante sur le long terme.

Il vous aide à développer votre patrimoine dans un environnement toujours plus complexe, incertain et en constante évolution (fiscalité, inflation, crises financières, changements législatifs, etc.). 

Vous avancez avec une stratégie lisible, des enveloppes adaptées (assurance-vie, PER, etc.) et un plan d’investissement structuré. Résultat : moins d’erreurs, plus de sérénité et une trajectoire patrimoniale qui progresse dans la durée.

Si vous souhaitez développer votre patrimoine et vous faire accompagner pour investir de façon stratégique, cet article vous permettra de comprendre le rôle clé que joue un bon conseiller dans votre réussite patrimoniale.

En l'absence de cadre, d'accompagnement et de perspectives positives, l'investisseur a tendance à privilégier la sécurité et la simplicité. Il place son épargne sur des supports faciles d'accès, dont la performance est faible, comparée aux meilleures alternatives qui existent sur les marchés financiers.

Cela entraîne une sous optimisation des performances de ses investissements sur le long terme et vient brider le potentiel futur de son patrimoine.

L'épargne est placée sur des livrets ou contrats peu performants, au lieu d’être dirigée vers des enveloppes à la rentabilité plus élevée. Imaginez le manque à gagner au bout de plusieurs années, voire décennies. Ne pas avoir de stratégie coûte très cher dans la durée. 

Pour comprendre le raisonnement et cette notion de "manque à gagner" , prenons l'exemple du livret A, support très utilisé - jusqu'à un certain seuil (22 950€, hors capitalisation des intérêts). 

Depuis le 1ᵉʳ août 2025, le taux du livret A est passé à 1,7 % . Il se situait encore à 3% en janvier 2025. Or, l'inflation se situe aux alentours de 2% sur le long terme.

Le taux du livret A est donc inférieur aux perspectives d'inflation. Nous perdons de l'argent à laisser dormir notre épargne sur ce type de livret. Il peut y avoir d'autres avantages, certes, mais il ne s'agit pas d'une enveloppe "rentable".

Poussons le raisonnement un peu plus loin. Intéressons-nous aux contrats d'assurance-vie proposés par les banques et notamment aux performances de leurs fonds euros. Le constat est le même : malgré un contexte économique propice aux fonds euros, la performance n'est toujours pas au rendez-vous dans la quasi totalité des contrats bancaires. 

Les rendements restent nettement inférieurs à ce qu'ils devraient être et toujours proche de l'inflation. Pourquoi ?

Pour deux raisons principales :

• La première tient à la qualité des produits "maison" proposés, souvent en deçà des standards proposés par les autres acteurs du marché de l'assurance-vie,
   
• La seconde tient aux caractéristiques mêmes des contrats et aux montants des innombrables frais qui viennent rogner la performance (déjà limitée) des produits : frais d'entrée, de gestion, d'arbitrage, de dossier, de rachat, etc.).

Voilà comment on arrive à un taux de rendement moyen de 2,63% en 2024 pour les fonds euros...quand les meilleurs contrats avoisinent les 4,5%, cherchez l'erreur !

Comment espérer développer son patrimoine avec de tels contrats ! 

La grande majorité des français continue pourtant d'ouvrir ou de conserver des contrats d'assurance-vie au sein de leur établissement bancaire.

Il s'agit d'une erreur fatale pour la performance de leur épargne sur le long terme.

Si c'est votre cas et que vous souhaitez en finir avec ce type de contrat, je vous encourage à vous abonner à mes Lettres Patrimoniales et à télécharger l'offre de services d'Aura Patrimoine pour en savoir plus sur mes missions.

Vous pouvez aussi me contacter pour un appel de 15 minutes via la page rendez-vous de mon site.
Je vous proposerai des alternatives performantes, réellement adaptées à votre situation et non à la situation d'un "profil type". 

Le choix de l’enveloppe fiscale et juridique de vos contrats (Assurance-vie, PEA, PER, compte-titre, etc.) a une incidence considérable sur la rentabilité nette de votre investissement.

Un même support (obligation, action, SCPI, etc.) ne donnera pas la même performance finale selon son enveloppe (assurance-vie, compte-titre, PEA, etc.). Cela signifie que la fiscalité et les règles de chaque enveloppe sont différentes. Mieux vaut donc ne pas se tromper au moment de l'ouverture de votre contrat en fonction de vos enjeux patrimoniaux.

• Compte-titres : les gains sont en principe soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30 % (12,8 % d’impôt + 17,2 % de prélèvements sociaux).
• PEA : après 5 ans, les gains sont exonérés d’impôt sur le revenu (restent les prélèvements sociaux).
• Assurance-vie : avant 8 ans, vous êtes soumis à une fiscalité de 30%. Après 8 ans, un abattement annuel de 4 600 € (9 200 € pour un couple) s’applique et votre fiscalité dépendra de la date des versements effectués sur votre contrat. 

Si vous logez un même support dans trois enveloppes différentes, vous obtiendrez donc trois résultats nets différents. Certains investisseurs en sont conscients, d'autres non. Et encore, on effleure à peine la notion de fiscalité ici, vous vous imaginez bien que notre système législatif a rendu les choses bien plus complexes que cela. D'où l'importance de bien connaître les caractéristiques de chaque enveloppe et de chaque produit avant d'investir, ou de se faire accompagner par un professionnel.

Comme évoqué plus haut dans cet article, la majeure partie des frais se situe souvent au niveau de l'enveloppe.

L’AMF (Autorité des Marchés Financiers) rappelle qu'il est important d’identifier et de comprendre les frais des investissements financiers. Or, tout le monde sait que ces frais figurent souvent en minuscule, à la cinquantième page du contrat. 9 fois sur 10, on passe à côté et évidemment personne ne prendra le temps de vous faire un topo là-dessus.

Votre conseiller doit analyser ces lignes en détail et vous expliquer le fonctionnement du contrat, avant même de sélectionner les produits qui le composent. 

Assurance-vie, PEA, PER ou compte-titres n’ont ni le même régime fiscal, ni la même liquidité. Ils n'occupent pas non plus la même place dans le cadre d'une stratégie patrimoniale. Il faut donc bien comprendre leurs caractéristiques afin de les utiliser et de les paramétrer correctement. 

Le PER est construit pour encourager l’épargne retraite. Le déblocage anticipé de ses fonds est limité aux (rares) cas prévus par la loi et sa fiscalité est spécifique à la sortie au moment de la retraite (soit en capital, soit en rente). Il ne s'agit pas d'un substitut à l'assurance-vie lorsqu'on a des objectifs de court ou moyen terme.

À l’inverse, l’assurance-vie permet de programmer des rachats partiels et de travailler sur les différentes protections que permettent les clauses bénéficiaires.

Le PEA, lui, permet d'acquérir des titres européens avec un régime fiscal favorable dans le temps, différent de celui de l'assurance-vie, du PER, etc.

Le choix de l'enveloppe prime sur celui du produit. Beaucoup d’épargnants se limitent à des solutions génériques ou des produits maison, en passant à côté des avantages que procurent chaque enveloppe (fiscalité, horizon, rachats possibles, etc.). Bien utilisée, chaque enveloppe sert un objectif précis. Sans pilotage, on choisit des enveloppes inadaptées et on loge les supports au mauvais endroit.

Cela peut avoir des conséquences considérables sur la performance future de votre patrimoine, dès les premières années. 

Plusieurs outils tels que l'IA, internet, les réseaux sociaux font des miracles en termes d'accès à l'information financière. Cependant, en s'adressant aux masses, ils généralisent l'information et ne tiennent pas compte de votre situation personnelle (vos objectifs spécifiques, votre fiscalité évolutive, votre patrimoine existant, etc.).

Aujourd'hui, la personnalisation du conseil est essentielle dans la réussite de vos placements. Il faut partir de votre situation, vos objectifs/horizons/contraintes pour ensuite choisir la stratégie et l’enveloppe adaptée à vos besoins, à votre fiscalité, à votre patrimoine. Et non faire l'inverse.

L’erreur courante est de choisir l’enveloppe avant d'avoir identifié le besoin. On se laisse démarcher ou séduire en ligne, on ouvre un contrat en quelques clics, puis on tente de lui trouver un objectif a posteriori. 

Cela s'entend pour le placement de quelques milliers d'euros, en revanche, cela devient plus risqué si vous souhaitez investir plusieurs dizaines de milliers d'euros.

Les enjeux ne sont plus les mêmes, les sommes ne proviennent pas des mêmes sources non plus (héritage, bonus, vente d'un bien immobilier, etc.). L'improvisation peut coûter cher. Il devient préférable d'être accompagné par un professionnel.

Première erreur : investir dans un produit “standard” qui ne correspond pas à vos besoins et vos enjeux financiers.

Séduit par un argument simple (ou fiscal), on souscrit sans définir ses objectifs, son horizon de placement ni ses besoins de liquidité futurs. Résultat : on réalise un placement mal adapté (assurance-vie bancaire, dispositif immobilier peu rentable, etc.) Il existe alors un réel risque de cash-flow négatif ou de durée de détention incompatible avec vos besoins.

Deuxième erreur : sous-estimer ces frais “invisibles” qui vont rogner la performance de votre investissement.

Des contrats standardisés empilent frais d’entrée, de gestion et d’arbitrage. La performance nette finit par s’éroder et devient parfois à peine supérieure à celle de l’inflation. Sans analyse des frais, couche par couche, et sans comparaison d’alternatives, on risque de faire une croix sur une partie du rendement.

Troisième erreur : confondre optimisation fiscale et investissement rentable

L’optimisation fiscale est un moyen, pas une fin. Certains dispositifs “défisc” séduisent par un marketing irréprochable mais restent opaques, coûteux et rigides. Si vous ne pouvez pas expliquer en une minute le mécanisme, la fiscalité de sortie, la liquidité et les risques : abstenez-vous.
Le gain d’impôt peut être rogné par les frais et la sous-performance du produit, avec un risque élevé d’abandon en cours de route ou de changement législatif.

Ces dispositifs, notamment immobiliers, comportent de nombreuses variables, souvent incertaines et très sensibles aux évolutions législatives. Au regard de la conjoncture actuelle et des rendements récents, la plus grande prudence s’impose.

Retenons qu'il existe du très bon comme du très mauvais dans chaque classe d’actifs. Être accompagné aide à cadrer, comparer et filtrer pour éviter les produits aux caractéristiques douteuses.

Règles de bon sens : 

• Des rendements trop beaux pour être vrais représentent un signal d'alerte.
• Si la compréhension du produit est complexe, passez votre chemin.
• Privilégiez toujours un deuxième avis extérieur.

Accompagner correctement un client c'est prendre le temps de l'écouter et de lui poser des questions sur sa situation, avant de lui recommander des solutions financières (projets de vie, horizons, tolérance au risque, contraintes de liquidité, fiscalité, engagements familiaux, etc.).

Cette phase d'analyse et de compréhension de la situation actuelle du client (contrats en cours, frais, clauses en vigueur, fiscalité, dynamique familiale, etc.) permet d'identifier ce qui fonctionne, ce qui bloque et ce qui manque dans sa stratégie patrimoniale.  

Dès lors que les objectifs sont fixés, que l'horizon de placement et le degrés de tolérance au risque sont définis, on établit le champ des possibles et on catégorise les différents investissements envisageables. On identifie ce qui doit être placé de façon sécuritaire et ce qui peut être investi de manière plus dynamique.

Cela permet d'établir un plan d'action et une stratégie sur le long terme en respectant deux règles simples :

1. Présenter clairement la mission : langage clair, livrables structurés et objectifs concrets.
2. Ne jamais faire investir son client dans une stratégie qu'il ne comprend pas.

Un conseiller indépendant travaille en architecture ouverte. Cela signifie que ses produits ne sont plus choisis parmi un catalogue restreint de solutions, toutes issues du même fournisseur, mais parmi plusieurs assureurs, dépositaires et sociétés de gestion.

Grâce à la profondeur de gamme de votre conseiller, vous avez accès à davantage d’enveloppes, de classes d’actifs et de produits.

Les enveloppes et les classes d’actifs sont sélectionnées en fonction de vos objectifs, de votre horizon et de votre tolérance au risque. L’objectif est de personnaliser l'offre de produits. Chaque solution est choisie en fonction de votre profil et de critères de sélection adaptés à vos enjeux.

Plusieurs analyses comparatives et modélisations peuvent également vous être remises pour vous aider à prendre des décisions. Cela permet notamment de comparer le comportement du produit face à l'évolution d'autres produits financiers, selon différents scénarios (crises, changement de fiscalité, retraite, etc.).

Vous comprenez ce dans quoi vous investissez et pourquoi vous investissez. Cette transparence est très appréciée de la part des clients.

Un grand nombre de solutions ne sont accessibles que par l'intermédiaire d'un cabinet de gestion de patrimoine et ne sont pas proposées, en direct, aux particuliers.

Il peut s’agir de parts institutionnelles, de gestions sous mandat spécifiques, de SCPI, club deal immobilier ou d’actifs non cotés comme le private equity et la dette privée.

Être accompagné par un conseiller en investissements financiers (CIF) accrédité par l'Autorité des Marchés Financiers (AMF) ouvre l'accès à des produits exclusifs.

Vous trouverez ci-dessous une liste (non exhaustive) des partenaires d'Aura Patrimoine, sélectionnés pour la qualité de leurs produits et leur réputation.

Mes clients ont accès à un large panel de solutions haut de gamme, reconnues pour leur rentabilité sur le long terme et leur exclusivité. 

Les performances passées ne préjugent pas des performances futures

Je propose trois types de prestations en fonction de vos enjeux et de votre situation patrimoniale :

• LE BILAN PATRIMONIAL : idéal pour placer votre épargne disponible, optimiser votre fiscalité et mettre en place une stratégie patrimoniale performante dans la durée.
   
• L’AUDIT PATRIMONIAL : mission plus approfondie, adaptée aux situations plus techniques, évolutives ou à forts enjeux (fiscaux, successoraux, immobiliers, famille recomposée, gros revenus, chef d’entreprise, etc.). Vision à 360° de votre patrimoine.
   
• GESTION PRIVÉE : service exclusif destiné aux patrimoines supérieurs à 1 M€ et aux entreprises disposant de trésoreries conséquentes (≥ 300 000 €/an). Cette mission débute systématiquement par un audit patrimonial complet, offrant une vision claire et exhaustive de votre situation. Elle se poursuit avec un accompagnement annuel global, continu et haut de gamme, couvrant l’ensemble de vos enjeux stratégiques : fiscalité, allocation d’actifs avancée, restructuration, transmission, organisation successorale, etc.
   

Grâce à une analyse patrimoniale approfondie et à forte valeur ajoutée, je conçois pour vous des solutions d’épargne et d’investissements personnalisées, parfaitement ajustées à vos enjeux.

Je sélectionne mes recommandations auprès d’acteurs de confiance, reconnus pour la qualité de leurs produits et vous propose des placements fiables, créateurs de valeur.

Pour en savoir plus, vous pouvez télécharger mon offre de services en cliquant sur l'image ou le lien ci-dessous . Vous aurez accès au détail de mes prestations. 

Vous souhaitez en savoir plus et être accompagné par un professionnel ? Je vous propose un appel découverte offert d’environ 15 minutes pour mieux nous connaître.

Ce premier échange nous permettra de voir ensemble si l’un de mes accompagnements est adapté à votre profil, à vos besoins et vos enjeux.